Déshydratation du gaz naturel avec des hygromètres à point de rosée portables

Le CDP301 est logé dans un boîtier robuste antidéflagrant et possède une certification mondiale pour les zones dangereuses. Il est capable de mesurer jusqu'à 100 bars de pression de fonctionnement et est fourni avec un conditionnement d'échantillon pour assurer des mesures de point de rosée précises et répétables sur le terrain. La batterie permet 8 heures de fonctionnement à partir d'une charge complète, ce qui est suffisant pour une utilisation toute la journée, avec la possibilité de permuter une batterie de rechange si nécessaire.

Le Michell MDM300 I.S. propose des systèmes d'échantillonnage compacts montés en valise et conçus pour une utilisation sur le terrain, notamment des filtres coalescents pour les liquides, des filtres à membrane et un "glysorb" pour éliminer le glycol.

Le gaz naturel extrait de sources souterraines est saturé d'eau et nécessite plusieurs étapes de traitement pour répondre aux exigences d'un gaz propre et sec, adapté au transport par gazoducs et à la combustion par les utilisateurs finaux. Le procédé le plus courant pour sécher le gaz naturel est la déshydratation au glycol. Dans ce cas, le gaz traverse une tour, où il est exposé à un brouillard de glycol, qui agit comme un dessiccant liquide. Ces contacteurs au glycol sont spécifiés pour atteindre une teneur en humidité inférieure à 3 lb/MMSCF (livres d'humidité par million de pieds cubes standard) dans des conditions de fonctionnement normales.

La présence de vapeur d'eau à des concentrations supérieures à quelques dizaines de parties par million a des conséquences potentiellement désastreuses. La durée de vie d'un pipeline est régie par la vitesse à laquelle la corrosion se produit, qui est directement liée à l'humidité disponible dans le gaz, de sorte que la performance des pièges de glycol est critique. Elle est généralement surveillée par des analyseurs d'humidité en ligne, tels qu'un Michell Instruments OptiPEAK TDL600.